L'introduction qui a été coupé dans l'article :
Le sujet de cet article n’est pas de savoir s’il est vraiment opportun d’utiliser le TTL au flash dans la photographie subaquatique. Il faudrait y consacrer un numéro à part et laisser les passions se déchaîner…
Tout au plus je dirais, en tant que formateur photosub et par expérience, que le TTL n’est jamais correctement exploité si le photographe n’a pas déjà une parfaite maîtrise de l’exposition manuelle au flash.
Ce qui est vrai sur terre avec des portées de flash superlatives, ne l’est plus sous l’eau. Le TTL n’apportera pas par “miracle” un supplément de puissance, si le photographe n’a pas su déterminer la portée de son flash en fonction du trio diaphragme, ISO, distance.
Et même ceci établi, il faut encore une certaine expertise pour exploiter toutes les subtilités de l’outil.
Mais a contrario, le débutant qui possède un APN tout automatique, sans aucune possibilité de connaître son diaphragme n’aura d’autres possibilités que de faire confiance au S-TTL des flashs Inon.
Le photographe averti, découvrant un site de plongée inconnu, à l’autre bout du monde et qui souhaite, sans se compliquer la vie, rapporter beaucoup d’images tout en assurant un taux important de photos réussies pourra également succomber aux sirènes de l’automatisme.
Car techniquement le S-TTL, ça marche !