Accueil >> Images >> ContactPhoto >> Des logiciels gratuits pour le panoramique >> Réflexions sur la prise de vue panoramique

En marge des tests logiciels quelques réflexions sur la prise de vue

360° horizontal
EOS1D MarkII, 360° horizontal, F27mm (équiv.34x36: 31,5mm)

360° vertical (prise de vue avancée d'un mètre / aux autres photos)
EOS1D MarkII, 360° vertical, F35mm (équiv.34x36: 41mm)

360° horizontal
EOS10D, 360° horizontal, F17mm (équiv.34x36: 27mm)
Animation Java

Ces trois images ont été prises sensiblement dans les mêmes conditions. Le pied pour l'image 2 est avancé d'environ un mètre par rapport aux deux autres.
Eos 1D MarkII sur tête Manfrotto non positionné point nodal Eos 10D positionné point nodalEos 10D point nodal verticalà gauche l'Eos1D markII sur une tête Manfrotto 303 SPH (pas encore positionnée en station point nodal), et montage plus simple au milieu avec un 10D et un plateau coulissant. À droite le 10D sur une tête pano, mais bien montée, avec réglage de la pupille d'entrée. Remarquez le niveau à bulle sur la griffe flash (il y a un autre niveau sur le trépied).

Les déformations:

Premières réflexions, la perspective et les déformations géométriques sont liés au champ couvert (ici 360°) et non à la focale utilisée. C'est peut-être une évidence, c'est bien de le montrer.

À propos de la mise en station verticale

La mise en station verticale a pour intérêt de couvrir un champ vertical plus large (ce qui n'est pas vraiment utilisé ici, mais qui aura tout son intérêt en intérieur).
Elle limite l'effet de vague sur l'image brute assemblée (non visibles sur ces images finalisées), ce qui permet de gagner quelques pixels en haut et en bas et d'augmenter encore un peu le champ vertical.
Elle augmente le nombre d'images à assembler ce qui multiplie le besoin en ressources. Un PC sous XP avec 512 mo de mémoire, n'a pas été suffisant avec Panavue pour assembler les 18 images, 8 mega pixels du MarkII. Pas assez de mémoire. Il a fallu réduire le poids de chacune des images.

À propos du point nodal

(on sait qu'aujourd'hui, il faudrait parler de la pupille d'entrée ; voir aussi ) :
Nous avons placé deux cibles verticales, afin d'évaluer le décalage de parallaxe et donc de trouver le meilleur point nodal.
La surprise a été, qu'il fallait déplacer le plateau de plusieurs centimètres, pour commencer à visualiser le décalage induit par la parallaxe.
Nous pensions, que ce réglage devait être plus sensible (de l'ordre du centimètre).

Le bon réglage est quand l'appareil pivote, en gros, autour de la lentille frontale du 17-40 que nous avons utilisé, sur les focales extrêmes (la pupille d'entrée recule entre ces deux valeurs).

Nous avons affiné la méthode de recherche de la pupille d'entrée depuis.
La méthode consiste à aligner deux clous, fixés sur deux planchettes, posés sur une table.
Le premier à quelques dizaines de centimètres.
Le second, entre un et deux mètres plus loin.
Une page à venir sur la procédure, bientôt.

Une tête panoramique, en partie faite main.






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